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    déjà 5 heures, on ferme, on remballe... Adieu Varenna !


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    Eh oui, il fallait bien qu'on le croque, cet adonis des jardins en terrasse de la Villa...


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    Je suis à la fois trop parti et trop heureux pour croquer les héros de la réception, où l'on constate que tout le monde a bien pris 10 ans (la soirée s'éteint vers 3-4 heures du mat) mais avec de beaux restes...

    palme du chic masculin à Marc (qui finit par se noyer dans le Nardini), à Jéjé qui a perdu 10 kg (le salaud !), à Ivan Orson Welles qui chaloupe comme aux plus beaux jours, à Henri il fanfarone !

    le lendemain matin, pendant qu'ils ascensionnent jusqu'au Crott di Meo, repentance et expiation des vapeurs alccooliques, ce dessin des jardins de la Cipressi :en face, Bellagio...


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    jouxtant la villa Cipressi, les jardins de la Villa Monasterio, avec une collection de "palmiers Goethe", ça ne s'invente pas... et oui qu'ils sont Goethe ! Sturm und Drang, totalement romantiques, échevelés, tournoyant, affaissés (dégénérés ?) entremélés à une statuaire Renaissance à couper le souffle. Miracle d'une beauté et d'une intelligence de jardins humains que je n'avais plus entrevue depuis Kyoto, mars 2007.

    La nuit nous surprend et me laisse sans couleurs...


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    Pour vous dire un peu l'ambiance, une carte postale Sepia de la Villa cipressi, l'endroit où nous résidons et où sera donnée, pas plus tard que ce soir, la grande fête en Rouge et noir des 10 ans de mariage de Carine et Ivan. Mythique n'est même pas le mot.

    Le rouge et le noir pour Stendhal, sa chartreuse de Parme sur le lac de Cosme, dans des brumes paradisiaques. J'espèrais une ambiance à la Thomas Mann, Montagne magique, mes espérances dépassées, du Stendhal, de la cristallisation, de la Restauration, c'est encore mieux.


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